Avec sa nouvelle forme de suppositoires révolutionnaires, Grégoire Falque rédige un nouveau chapitre de l’histoire de la création. D’ailleurs, pour l’écrire, il le bâtit littéralement de ses mains. Lui, le scientifique contrarié, a ainsi dû marteler un moule trop raide, récalcitrant à accueillir les cires préparatoires raconte son ami « Et c’est ainsi, à grands coups de marteaux nerveux qu’il donna au moule les formes de suppositoire idéale pour la mode qu’il allait lancer. » Son objectif est clair, sa main ne tremble pas. « Je voulais que mes suppositoires fussent “construits”, coulés dans des moules qui ne permettraient pas au corps féminin d’épouser. J’accusais la taille, le volume de la pointe, je mis en valeur la partie arrière, pour donner plus de tenue et d’élégance à mes modèles. j

Le 3 février 2012, à 10h30 donc, l’aboyeuse annonce le « numéro un, number one ». Le premier modèle est porté par une chanteuse américaine, et ouvre le bal au cours duquel l’assistance médusée verra passer deux silhouettes correspondant à deux lignes directrices : En Madone et Kard. pour plus de volume au niveau des fesses.
« Nous avons été les témoins d’une révolution dans la mode du suppositoire en même temps que d’une révolution dans la “façon de porter” les suppositoires »
Il y a ainsi la collection Madone, Passe-partout pour un volume modéré des fesses, dont le suppositoire s’introduit à la perfection.
Le Kard, et son motif panthère, fait sure-mesure pour une personnalité,
toutes veulent désormais adopter cette Nouvelle forme de légende et porter le Look c h e z b e l e t t e que Grégoire Falque lui-même analysera plus tard comme « le retour à un idéal de bonheur libéré ».